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Le présentateur de la chaîne CNews, Pascal Praud, a discuté avec des proches d’Emmanuel Macron avant les résultats des élections européennes.

Les Capulet et les Montaigu se détestaient mais l’amour de Roméo et Juliette était plus fort.

Selon des informations du Monde et de BFMTV, Bruno Roger-Petit, conseiller mémoire d'Emmanuel Macron, a rencontré Marion maréchal en octobre dernier dans une brasserie parisienne. Des élus de la majorité et de l’opposition ont vivement réagi sur les réseaux sociaux.

Contrairement à ce qu'avait annoncé le site internet Challenges, Bruno-Roger Petit est toujours porte parole de l'Elysée

Sur le plateau de BFM TV, en juin 2017, le journaliste, désormais porte-parole de la présidence, alertait sur la nécessité, pour l'exécutif, de ne pas laisser les couacs se multiplier.

Faut-il (déjà) enterrer les grandes heures de la communication présidentielle ? Alors qu'il s'était fait connaître comme un communicant hors-pair, il semblerait qu'Emmanuel Macron soit d'ores et déjà dépassé par les événements. Pour Arnaud Benedetti, la gestion par l'Elysée de l'affaire Benalla, ce garde du corps du président qui a tabassé un manifestant, est calamiteuse.

Bruno Roger-Petit, le porte-parole du président de la République, serait en disgrâce au sein du Palais. Selon des informations de L'Express, un possible départ est même évoqué.

Et aussi : Le Pen avait prévenu Philippot ; Régis Debray et Castro...

C'est une appréciation qui émane d'une bouche parfaitement autorisée. Celle du porte-parole du gouvernement.

Éditorialiste pour l'hebdomadaire Challenge, Bruno Roger Petit vient d'être nommé Porte-Parole de l'Elysée. Dans le même temps, plusieurs personnalités politiques ont fait le chemin inverse, en devenant chroniqueurs (Aurélie Filippetti, Julien Dray, Jean Pierre Raffarin etc...).

L'éditoraliste de Challenges.fr aura "pour mission de relayer la parole publique de l'Elysée".

La haine jouit d'une bonne santé en France. Un livre, tout nouveau, tout beau en témoigne.

Le directeur de la rpublication d'Atlantico et le chroniqueur du Plus étaient les invités d'Olivier Galzi, hier sur iTélé.

Dans une chronique sur le site du Nouvel Observateur, le journaliste Bruno Roger-Petit relativise "l'anecdote" du goût d'Aquilino Morelle pour le cirage de ses chaussures dans un salon privé d'un palais de la République. Un détail qui est pourtant porteur d'un symbole détestable.

Jean-Sébastien Ferjou (Atlantico) et Bruno Roger-Petit (Europe 1) étaient les invités de Nicolas Beytout pour le troisième débat "OpinionS" sur l'Opinion.

Nouveau rendez-vous chaque mercredi sur Atlantico : la vie de la gauche au pouvoir passée au laser de Serge Federbusch.